« Il faut que l’aide à mourir relève d’un juge et non de la décision des médecins »


La décision de mourir est une affaire de liberté et non un soin médical parmi d’autres, rappellent, dans une tribune au « Monde », les philosophes Jean Baubérot-Vincent et François Galichet. Ils préconisent, pour soutenir les patients en fin de vie, un collège d’accompagnants bénévoles membres d’associations agréées, lié à la justice.




Source