L’éviction puis la réintégration du patron d’OpenAI a déclenché une crise, dont les vainqueurs seraient les « accélérationnistes » et les optimistes de l’IA, explique dans sa chronique Alexandre Piquard, journaliste au « Monde ».
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L’éviction puis la réintégration du patron d’OpenAI a déclenché une crise, dont les vainqueurs seraient les « accélérationnistes » et les optimistes de l’IA, explique dans sa chronique Alexandre Piquard, journaliste au « Monde ».
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