À droite, on fustige le «baratin» ou encore le «numéro de commentateur» du premier ministre. Quand à gauche, on souligne sa «responsabilité» dans la dégradation du climat et de la sécurité dans les établissements scolaires.
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À droite, on fustige le «baratin» ou encore le «numéro de commentateur» du premier ministre. Quand à gauche, on souligne sa «responsabilité» dans la dégradation du climat et de la sécurité dans les établissements scolaires.